jeudi 24 mars 2011

Interview de Mme Dominique Ouattara 2/4

Retour sur une interview donnée en 2008 par Dominique Ouattara.

Dominique Ouattara faisait le bilan de ses activités et sur la situation socio-politique en Côte d’Ivoire.

Cet article vous est proposé en quatre parties.
Ci-après, nous vous invitons donc à lire la seconde partie de cette interview de Dominique Ouattara.
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Q : Madame Dominique Ouattara, vous avez cité tantôt des pays dans lesquels vous intervenez. Qu’est-ce qui préside au choix de ces Etats ?

Dominique Ouattara : C’est très simple ! La Fondation essaie de ne pas faire de dépenses inutiles, de ne pas dilapider les moyens mis à notre disposition par les donateurs. Nous utilisons donc nos propres structures et choisissons des endroits où nous sommes sûrs que les projets iront à leur terme. C’est cela le plus important.

Q : Et comment ça se passe dans ces pays ? En clair, avez-vous des échos de vos activités ?

Dominique Ouattara : Ça se passe très bien, mais il y a tellement de besoins ! Les gens nous appellent pour dire qu’on devrait intervenir à tel endroit où à tel autre. Finalement, l’on a l’impression que nos dons sont une goutte d’eau dans la mer. C’est un peu cela notre difficulté.

Q : A l’approche de l’échéance électorale, que répondez-vous à ceux qui pourraient penser à un prix à relent électoraliste, étant donné qu’il pourrait attirer sur vous et votre époux les faveurs de l’opinion ?

Dominique Ouattara: Non, je ne le pense pas. L’opinion sait que nous faisons depuis une dizaine d’années un travail considérable concernant la Fondation qui ne pose pas des actes seulement en Côte d’Ivoire mais dans d’autres pays d’Afrique. Il ne peut donc y avoir de relent électoraliste.


Pour retrouver la première partie de l'article: Interview de Dominique Ouattara - partie 1

SOURCE

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